Quels atouts doit avoir un progiciel d’assurance pour accompagner la croissance d’un acteur de taille intermédiaire ?

Les acteurs de taille intermédiaire sont soumis à des contraintes d’outillage informatique complexe. 

Le premier choix, entre développement propre et progiciel, est compliqué mais lorsque le progiciel a été choisi, comment en choisir un qui permettra d’accompagner la croissance ?

Les contraintes de la croissance chez les acteurs de taille moyenne

Lorsque la croissance est au rendez-vous, les acteurs de taille intermédiaire subissent des difficultés de plusieurs natures :

  • La croissance des volumes : symbole évident de la croissance des ventes. Ces volumes peuvent se traduire par des contrats, des clients, mais aussi des sinistres, des demandes clients, des appels téléphoniques ou encore des courriers. C’est donc toute l’entreprise ou presque qui doit absorber ces volumes.
  • L’industrialisation : afin d’absorber une augmentation des volumes, les processus métiers s’organisent, les équipes se structurent et donc l’organigramme, l’organisation et les outils sont mis à rude épreuve pour supporter des évolutions structurantes assez régulièrement.

La complexité ne s’arrête pas là avec également des enjeux financiers ou de maîtrise de coûts plus forts. Ainsi que l’augmentation des contraintes réglementaires qui viennent s’appliquer aux activités. 

Scalabilité entre volume et organisation

Trouver un outil pour accompagner cela n’est pas si simple. Bien souvent, les outils qui s’annoncent scalables permettent de supporter des volumes de plus en plus importants. Certes, c’est là, la première nécessité d’un outil de ce type. En effet, c’est la traduction immédiate de la croissance. Ainsi, la communication sera portée sur la capacité de la base de données à supporter des gros volumes, des tests de performance avec des millions de lignes. Ou bien encore la résistance ou la sauvegarde et l’archivage des serveurs.

En revanche, cette seule lecture informatique du volume est insuffisante, car elle ne tient pas compte de l’impact organisationnel dont nous avons parlé précédemment. La croissance, et le volume, ne viennent pas sans conséquences sur les processus et les équipes. Ainsi, un outil scalable devra également permettre une évolution aisée des workflows ou des processus métier, sans nécessité de développement additionnel lourd.

Scalabilité entre volume et organisation

Trouver un outil pour accompagner cela n’est pas si simple. Bien souvent, les outils qui s’annoncent scalables permettent de supporter des volumes de plus en plus importants. Certes, c’est là, la première nécessité d’un outil de ce type. En effet, c’est la traduction immédiate de la croissance. Ainsi, la communication sera portée sur la capacité de la base de données à supporter des gros volumes, des tests de performance avec des millions de lignes ou bien encore la résistance ou la sauvegarde et l’archivage des serveurs.

En revanche, cette seule lecture informatique du volume est insuffisante, car elle ne tient pas compte de l’impact organisationnel dont nous avons parlé précédemment. La croissance, et le volume, ne viennent pas sans conséquences sur les processus et les équipes. Ainsi, un outil scalable devra également permettre une évolution aisée des workflows ou des processus métier, sans nécessité de développement additionnel lourd.

Les deux forces d’Okayo

Okayo est un back-office de gestion dédié aux acteurs de taille intermédiaire. Il a été construit en prenant en compte nativement les enjeux et les contraintes de ce type d’acteurs.

Ainsi, il est capable d’une part de supporter une montée en charge sans difficulté particulière sur toutes vos activités. Okayo est également en mesure, d’autre part, de faciliter le paramétrage de l’outil et de le rendre accessible à vos collaborateurs, même non informaticiens. Ainsi, une évolution d’organisation qui serait décidée pourrait être appliquée rapidement et sans point de friction directement dans l’outil par vos équipes métiers !

Photo de Isaac Smith sur Unsplash